La solution soumise par Candiac, et soutenue par la MRC de Roussillon, est de construire l’école sur une parcelle de terrain agricole rendue inexploitable à la suite de la construction de l’autoroute 30.
Celle-ci est devenue inutilisable en raison de son enclavement qui la rend inaccessible en plus d’un mauvais drainage des sols depuis les travaux de 2009.
La Ville croit que sa proposition permettrait d’économiser beaucoup d’argent et espère que la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) corrigera cette erreur en incluant la parcelle dans son Plan métropolitain d’aménagement et de développement prévu en juin 2025.
De plus, la municipalité demande à la population de se mobiliser et d’écrire au ministre de l’Éducation afin de faire avancer ce dossier pressant pour la communauté.
Déjà, ce sont plus de 700 courriels qui ont été envoyés par les citoyens.
Enfin, la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) tiendra une audience le 5 novembre prochain et si la demande d’exclusion de la Ville est refusée, la décision sera irrévocable.