Une séance d’information était tenue mercredi soir du côté de McMasterville.
Plusieurs intervenants s’interrogent sur la capacité de la route 223 à supporter le flot immense de camions remorques qui l’empruntent en ce moment et la sécurité routière.
D’autres soulèvent des questions sur les déchets produits lors de la fabrication éventuelle de batteries.
Ils se demandent ce que fera la compagnie de ces déchets.
La question financière est aussi abordée, alors que, soutiennent des citoyens, Northvolt ne serait toujours pas rentable depuis sa fondation.
Stéfanos Bitzakidis, directeur régional de l’analyse et de l’expertise de la Montérégie et Pôle d’expertise industriel au MELCCFP affirme que des normes canadiennes seraient mises en place pour le traitement des déchets.
Ils ne peuvent dire quel pourcentage de production sera revalorisé et recyclé dans le processus.
L’entreprise est en démarrage et la rentabilité viendra lors de la vente de produits de batteries, ce qui cadre dans un cheminement régulier, soutiennent les gens de Northvolt.
La séance était organisée par le gouvernement du Québec (MEIE, MELCCFP et le MTMD).