C’est ce que constate le regroupement qui a présenté le bilan de la dernière année ce mardi.
En fait, il y a eu 3000 signalements de plus pour la région.
Toutefois, on doit comprendre que la DPJ n’a pas eu à intervenir sur ces cas.
La nature des problèmes touche en majeure partie la négligence au niveau de l’alimentation et de la tenue vestimentaire.
Ensuite les cas de harcèlements psychologiques se retrouvent au deuxième rang, suivi des abus de nature physique.
Par ailleurs, près de 50 % des jeunes pris en charge demeurent chez leurs parents.
D’autres sont hébergés par des proches, ce qui favorise une plus grande stabilité affective.
Enfin le manque de personnel est critique pour le volet jeunesse.
Selon la directrice de la protection de la jeunesse pour la Montérégie, Marie-Josée Audette, ce n’était pas le cas avant la pandémie.