Il est encore trop tôt pour dire si le magasin La Cordée de Saint-Hubert va subir les contrecoups de la bannière qui s’est placée sous la protection de la Loi sur la faillite le 17 février.
L’agente de communication de La Cordée, Nathalie Bergeron, se veut rassurante par rapport aux licenciements.
Elle confie qu’il n’y en a pas d’envisagés pour l’instant puisqu’aucun plan de transformation de développement est mis en place.
L’entreprise s’est justement placée sous la protection de la Loi pour prendre le recul nécessaire afin d’envisager un plan de restructuration.
La cinquante d’employés de La Cordée Saint-Hubert n’est pas syndiquée.
Les deux magasins de Montréal sont les seuls sur les 5 succursales de La Cordée à être en voie d’obtenir une convention collective.
Auteur: François Bertrand-Potvin