Jusqu’à maintenant, aucun cas de COVID-19 n’a été détecté au camp de jour de l’Association de parents de l’enfance en difficulté (APED).
Chaque matin, un questionnaire doit être complété par Internet.
Si l’enfant présente des symptômes du virus, telles que la fièvre et la toux, il doit demeurer à la maison.
Le camp a débuté le 29 juin, avec des groupes dans plusieurs écoles de l’agglomération de Longueuil.
Les intervenants portent un couvre-visage et les mains des enfants sont désinfectées dès l’arrivée.
Une quarantaine de jeunes sont inscrits à ce service.
Le personnel a travaillé d’arrache-pied quelques semaines avant le début des activités, pour appliquer les mesures sanitaires de la Santé publique.
Lors d’une entrevue avec le FM 103,3 en juin, la directrice générale Chantale Beaudoin, a affirmé que toutes les précautions ont été prises, malgré les coûts additionnels engendrés par la pandémie.
Certains camps de jour situés en Montérégie ont fait les manchettes la semaine dernière, car des animateurs auraient contracté la maladie.
Auteure: Katina Diep