La députée Mendès réagit ainsi à la suite d’une séries d’articles concernant l’enquête en cours de la GRC sur les « postes de police chinois ».
Elle refuse par contre de commenter l’information, même si elle dit avoir été nommée à quelques reprises par certains médias.
Elle affirme avoir développé des relations de collaboration avec le Service à la famille chinoise du Grand Montréal (SFCGM) depuis ses débuts à la Maison Internationale de la Rive-Sud en 1987.
La Libérale déplore simplement que la médiatisation de cette affaire ait entraîné la cessation de nombreuses activités d’intégration pour leurs utilisateurs de l’organisme.
Selon elle, l’enquête a sonné le glas pour tant d’activités d’intégration qui étaient offertes aux usagers et elle trouve ça regrettable.