Son adoption va permettre la mise en place d’un projet de développement domiciliaire écologique pour le secteur.
Ce plan va dorénavant traiter le chemin de la Montagne comme un tout.
Plusieurs critères d’évaluation applicables aux projets de construction ont été ajustés pour répondre aux préoccupations écologiques des citoyens.
La Ville n’avait d’autre choix que de trouver un compromis pour ce secteur.
La Cour d’appel du Québec exigeait que Mont-Saint-Hilaire adopte une réglementation en accord avec le Schéma d’aménagement révisé de la municipalité régionale de comté (MRC) de la Vallée du-Richelieu.
Elle lui accordait un délai de 270 jours en novembre dernier pour élaborer le projet.
Il lui reste toutefois à obtenir l’approbation de la MRC.