Selon les informations obtenues par Le Devoir, la SEPAC a procédé à l’abattage des bêtes récemment pour réduire les cheptels.
Plus précisément, cela représente 319 animaux à Boucherville et 80 à Saint-Bruno.
Le permis aurait été accordé par le provincial pour contrôler la population de cervidés dans ces deux sites. Le décompte était de 660 cerfs au total, avant cette « opération ».
Il faut savoir que la densité des cerfs était trop élevée, ce qui provoquait des dommages pour les milieux naturels.
De plus les bêtes se nourrissent de la végétation, ce qui empêche sa régénération.
La réduction de la nourriture au parc de Boucherville provoque aussi le décès des bêtes en hiver.
Certains se sont déplacés vers les quartiers résidentiels de la municipalité pour se nourrir.