L’équipe de l’Association de parents de l’enfance en difficulté (APED), a réussi à offrir un camp de jour aux familles, malgré plusieurs embûches.
Il fallait d’abord revoir les façons de faire, en fonction des consignes sanitaires de la Santé publique, qui ont occasionné des frais additionnels considérables.
Aussi, la perte d’une importante subvention gouvernementale, a créé un trou dans le budget de l’organisme.
L’achat de jeux individuels fait partie des dépenses imprévues, comme l’explique la directrice générale, Chantal Beaudoin.
Mme Beaudoin rappelle par ailleurs que l’APED finance 65% du coût total du camp de jour.
Même si la période de recrutement a débuté plus tard que prévu, le ratio de deux ou trois enfants par animateur, a été respecté.
Certains parents ont choisi de ne pas envoyer leur enfant au camp, mais les places ont tout de même été comblées.
Cette année, 44 enfants sont inscrits à ce service.
Auteure : Katina Diep