Selon Stéphanie Vachon, représentante syndicale, le réseau des CPE ne peut plus maintenir ses travailleuses en place en partie parce que les salaires sont non-compétitifs.
Les disparités régionales sont aussi un enjeu de taille dans les régions éloignées du Québec et le syndicat beut négocier avec le gouvernement.
Mme Vachon dénonce l’offre de Québec qui se situe à 12,5% offert en mai 2024. Les syndiquées veulent davantage.
Les travailleuses disent être déterminées dans cette lutte pour faire reconnaître à sa pleine valeur leurs compétences.
La présidente de la CSN, Caroline Senneville soutient que les CPE contribuent à l’effort économique du Québec et il faut renverser la vapeur sur la pertes des travailleuses en CPE.