Il désire réviser ses pratiques aéroportuaires pour répondre aux exigences environnementales actuelles.
L’aéroport reconnait que l’aviation représente environ 2,5% des émissions mondiales de CO2.
Il s’engagera donc à surveiller et préserver la qualité de l’air en installant des stations de mesure.
Le MET souhaite aussi réduire son empreinte carbone, les émissions de gaz à effet de serre et préserver la biodiversité.
L’objectif est de faire de l’aéroport un modèle en matière de pratiques environnementales durables.
Ce plan s’étalera donc en cinq phases jusqu’en 2029.
Après une phase de lancement en 2025, le MET espère mettre en place un programme de tri et de recyclage «zéro déchet» en 2026 et éliminer les plastiques à usage unique dans les commerces en 2028.
L’aéroport reconnait aussi le bruit généré par les vols, qui compromet la qualité de vie des populations environnantes.
Il espère atténuer ces enjeux, entre autres, grâce à l’installation de murs végétaux.