La nature du travail des policiers affecte inévitablement leur santé mentale dans de petites régions.
L’agent Pierre-Charles Lussier a témoigné des traumatismes rencontrés, lundi lors d’une conférence de presse au locaux du Service de police de l’agglomération de Longueuil.
Il a évoqué des images persistantes de décès en disant que ce sont des scènes et des odeurs qui hantent longtemps les policiers.
Il faut mieux soutenir ces agents et de ce fait, l’Association des directeurs de police du Québec (ADPQ) travaille sur un programme de soutien en santé mentale.
Il pourrait être inspiré du modèle du SPVM.
Ce programme vise un financement gouvernemental et municipal pour offrir un suivi psychologique spécialisé.