Ces organismes essentiels au développement des adolescents de 12 à 17 ans font face à une précarité financière qui menace leur pérennité.
Les directeurs de ces établissements dénoncent un modèle de financement par projet qui les oblige à consacrer une part importante de leur temps à la recherche de fonds, au détriment de leurs missions principales.
Marie-Christine Joannette, directrice de la Maison des jeunes de Marieville dit que les heures passées à monter des projets ont des conséquences majeures.
Elle pense à une difficulté à offrir des activités variées, une impossibilité d’augmenter les salaires des employés, et un risque de fermeture.
Ainsi, les deux organismes demandent aux autorités compétentes de revoir leur modèle de financement et d’accorder aux maisons des jeunes un financement de base stable.
Ce financement leur permettrait d’assurer la continuité de leurs services.
Journalisme initiative locale