Madame Borel a été libérée sous un certain nombre de conditions, notamment de vivre avec son fils et de rester loin du domicile et de l’école de la jeune victime, ainsi que d’un témoin, dont l’identité est protégée par une interdiction de publication.
Le 2 octobre, la police de la Rive-Sud de Montréal a arrêté Borel, mais l’a libérée et lui a ordonné de comparaître en cour à une date ultérieure.
Le garçon a subi des brûlures au deuxième degré au visage et au haut du corps, et ses parents et d’autres membres de la communauté ont dénoncé ce qu’ils ont qualifié de traitement indulgent de la part du système judiciaire.
À la suite du tollé, elle a été arrêtée le 11 octobre et a été détenue jusqu’à l’audience de mise en liberté sous caution ce jeudi.