Cette décision a été prise à la suite de la mise en pied de plusieurs enseignants dans les dernières années dans le secteur de la francisation à l’éducation aux adultes.
Les représentants des deux syndicats affirment que les besoins sont très présents et que ces coupures ne sont pas justifiées.
Le président de la FSE-CSQ, Richard Bergevin, croit que le gouvernement empêche les immigrants de recevoir des services de francisation nécessaires à leur développement dans la société.
De son côté, le président de la CSQ, Éric Gingras, ajoute que ces personnes souhaitent recevoir des services de francisation et qu’elles sont vitales pour que ces gens puissent s’intégrer et travailler dans nos communautés.
Les représentants demandent donc au gouvernement de continuer d’offrir les services en égalant les besoins réels.