Ces mesures ont été annoncées par le ministre fédéral de l’Emploi, Randy Boissonnault et elles concernent le programme de ces travailleurs.
En fait, elles augmentent de 20 % le salaire minimum requis pour considérer un emploi comme étant à haut salaire.
Ces hausses sont perçues comme une menace pour la survie de nombreuses entreprises, en particulier les PME.
Elles viendraient compromettre la vitalité économique de régions comme la Vallée-du-Richelieu, dit Julie La Rochelle, présidente-directrice générale de la Chambre.
Ces restrictions risquent d’augmenter les coûts d’exploitation des entreprises et de freiner leur croissance, alors qu’elles ont déjà à faire face à un contexte économique fragile.
Gabriel Borduas, président de Cyrell AMP, a souligné que cette décision nuirait à la croissance de son entreprise et à celle de tout un secteur.
La FCCQ partage ces préoccupations et souligne que ces mesures pourraient entraîner une hausse des prix pour les consommateurs et une perte d’emplois.