Chrono serait actuellement en difficulté financière.
L’achat inclurait, selon La Presse, notamment le terminal Lux, un aérogare privé situé dans la zone aéroportuaire.
Cette transaction s’inscrirait dans la stratégie d’expansion de M. Péladeau dans le secteur de l’aviation privée.
Il semblerait que Chrono Aviation chercherait à se protéger temporairement de ses créanciers via la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), afin de restructurer ses finances.
Toutefois, ses activités seraient maintenues.
L’entreprise fondée à Québec exploite 14 appareils pour des vols nolisés et emploie 300 personnes.
En dépit de son succès, Chrono a fait face à des critiques locales à Saint-Hubert concernant le bruit de ses gros transporteurs, ce qui a mené à l’interdiction de vols de nuit depuis avril 2024.
Si l’accord est finalisé, Starlink deviendrait actionnaire minoritaire de Chrono, renforçant ainsi sa position dans l’aviation privée.