Il conteste l’idée que la gestion de l’offre soit responsable de ce gaspillage.
Il précise que les pertes au Québec sont minimes comparées à la moyenne mondiale.
M. Caron critique également l’affirmation selon laquelle ces pertes seraient causées intentionnellement pour augmenter les prix.
Selon lui, divers facteurs comme les tempêtes ou les fermetures d’usines expliquent ces pertes.
L’étude, menée par trois chercheurs, recommande une révision du système de quotas pour mieux gérer les surplus.
Le président de l’UPA insiste sur l’importance de la gestion de l’offre pour maintenir les fermes et attend avec optimisme l’adoption prochaine d’un projet de loi visant à protéger ce système dans les négociations commerciales.