On peut rappeler qu’après une enquête révélant des anomalies dans ses heures de travail, la Ville avait intenté une poursuite civile.
Herbert est accusé d’avoir frauduleusement facturé plus de 160 séances entre 2016 et 2019, en produisant de faux documents.
Bien que le remboursement se fasse « sans admission » de sa part, il marque une étape importante dans cette affaire.
Parallèlement, l’ancien magistrat fait face à des accusations criminelles de fraude et de production de faux documents, déposées par l’UPAC.
Son procès est prévu pour le 5 décembre prochain.