Il faut savoir que des fonctionnaires ont dénoncé des pressions pour autoriser rapidement cette usine de batteries en Montérégie, révélant un manque de transparence et un travail bâclé.
D’ailleurs, le Parti Québécois, par la voix de Pascal Paradis, s’interroge sur l’implication de la ministre de l’Économie Christine Fréchette.
Marc Tanguay, chef des libéraux, juge que M. Charette n’est pas à la hauteur, sans toutefois exiger sa démission.
Québec solidaire, par Gabriel Nadeau-Dubois, parle de « magouillage », accusant le gouvernement de favoritisme envers une entreprise en difficulté.
En réponse, la ministre Fréchette assure que les autorisations respectent des normes strictes.