Un document de travail de l’Autorité régionale de transports métropolitain évoque cette possibilité depuis août dernier.
L’ARTM chercherait à optimiser ses services de trains de banlieue tout en réduisant les coûts d’exploitation.
Certains citoyens sont donc inquiets de voir le service de trains disparaître et être remplacé par des autobus.
La Ville a fait valoir que le train reste le seul moyen qui permet à ses citoyens de se rendre directement au centre-ville de Montréal.
Elle considère que la suppression du service entraînerait une hausse de la congestion routière et une augmentation des gaz à effet de serre.
Le maire Ludovic Grisé Farand, invite ses collègues des autres villes à emboîter le pas, malgré que la situation reste encore très hypothétique.