Le ministère de l’Environnement a accepté de remettre à la coopérative son certificat de conformité.
Les travaux pourront donc commencer sous peu.
Saint-Bruno n’a pu convaincre la CFGM d’utiliser des filtres pour réduire l’impact atmosphérique et la pollution de ses fours crématoires.
La Ville estime que la pollution émise sera 122 fois plus importante sans la présence de filtres.
Un jugement de la Cour supérieure du Québec, rendu en 2021, avait empêché Saint-Bruno de bloquer la construction du crématorium.
Comme explique le conseiller municipal du district 2, Vincent Fortier, le conseil de Ville entend poursuivre ses démarches et surveiller les taux de polluant dans l’air une fois que le crématorium sera en fonction.