Ottawa, qui, comme Québec, a investi dans le projet qui totalisera 7 milliards $, laisse entendre que de retirer en partie l’approvisionnement électrique ne serait pas de bon augure pour la réalisation de l’usine.
C’est le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne, qui a lancé cet avertissement.
Il l’a fait alors que le manufacturier de batteries suédois éprouve de sérieuses difficultés financières.
Devant la pression des partis d’opposition, le gouvernement Legault a ouvert la porte à réaffecter une partie des 354 mégawatts d’électricité promis à Northvolt à d’autres entreprises.
C’est en attendant que l’usine de Northvolt soit pleinement fonctionnelle.