En effet, les villes jugent que cette décision est inacceptable, puisqu’elles subiraient des conséquences négatives selon elles.
McMasterville croit qu’une interruption ou même une réduction du service augmenterait la congestion routière et compromettrait la mobilité de ses citoyens.
De plus, elle demande à l’ARTM de revoir ses options et de maintenir le service de cette ligne essentielle dans tous les cas.
De son côté, la Ville de Mont-Saint-Hilaire croit que cette décision est incohérente dans la situation actuelle de pénurie de main-d’œuvre.
Celle-ci affirme que réduire les possibilités en matière de mobilité durable n’est pas une option.