M. Tabarah reconnaît que les infrastructures sont loin d’être parfaites, mais un comité scientifique travaille actuellement sur le problème et les pistes de solution.
De plus, ajoute-t-il, Longueuil possède des systèmes de détections sous la forme d’un projet-pilote pour connaître les quantités d’eau en temps réel dans le sous-sol de la ville.
Le concept est pour permettre aux Travaux public d’agir le plus rapidement possible aux bons endroits afin d’éviter le plus possible des sinistres.
Jonathan Tabarah aborde aussi le volet des bassins de rétention et de zones tampons qui doivent faire partie des solutions.
Longueuil tente d’être proactive, dit M. Tabarah.