La rupture a provoqué un véritable geyser sous le pont Jacques-Cartier, inondant plus d’une centaine de résidences et perturbant la circulation, notamment avec des bus déroutés.
Un poste de commandement a rapidement été établi près de la zone touchée pour coordonner les opérations d’urgence.
Selon Roger Ferland, ancien enquêteur du SPVQ, cette crise dépasse les capacités locales, nécessitant l’intervention du gouvernement du Québec et de la protection civile.
Les autorités s’efforcent de contenir la situation, mais des répercussions sont également attendues à Longueuil.
Les opérations devraient durer plusieurs heures avant un retour à la normale.