TVA Nouvelles nous rapporte qu’initialement louées à court terme, les chambres sont devenues le théâtre de consommation de drogue et d’alcool, de violence, de vitres brisées et de saccage.
Il semblerait aussi qu’une atmosphère glauque règne à l’intérieur et des amoncellements de déchets se retrouvent à l’extérieur.
La Régie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent est intervenue plusieurs fois pour des incidents criminels, mais le conflit avec les cinq chambreurs restants est de nature civile.
Les propriétaires cherchent à expulser ces occupants pour réaliser des travaux de mise en conformité en matière de sécurité incendie, espérant rouvrir l’hôtel aux touristes à l’automne.
Cependant, certains locataires contestent leur expulsion devant le Tribunal administratif du logement, rendant la situation complexe.