Une partie du surplus est attribuable à la hausse exceptionnelle des taux d’intérêt et cette situation a permis de générer un revenu supplémentaire, non prévisible de 566 590 $.
Par ailleurs, la pénurie de main-d’œuvre a notamment permis une économie de 536 000 $ en masse salariale.
Le ralentissement du marché immobilier a, quant à lui, entraîné une chute des droits sur les mutations.
Résultat, une perte de revenus de près de 200 000 $.
La Ville entend utiliser l’excédent pour rembourser en partie des surplus utilisés pour équilibrer le budget face à l’inflation.
En effet, la municipalité avait puisé 2 238 147 $ dans ses réserves pour limiter l’impact fiscal sur les contribuables.
De plus, la consommation d’eau réduite et la diminution des fuites ont entraîné une baisse des coûts d’approvisionnement d’un peu plus de 215 000 $.
Parmi les dépenses importantes, la Ville a investi 5,3 M$ dans la reconstruction de la rue Lamarche et 885 000 $ dans la réfection de la chaussée, avec des subventions couvrant une partie de ces projets.
La représentante aborde aussi le sujet des surplus cumulés non consolidés en exposant les sommes y figurant.