Il s’agit du secteur de la Gare, le secteur du Massif et le secteur du Manoir.
Ce projet, financé par une subvention de 19 500 $ du ministère de l’Environnement, vise à surveiller les polluants potentiellement rejetés par le réseau de drainage urbain.
Ces rejets peuvent provenir des égouts pluviaux et cours d’eau urbains non traités.
Le travail se fait en collaboration avec l’organisme COVABAR.
La Ville va donc analyser les concentrations de pesticides et d’autres paramètres chimiques et bactériologiques de mai à septembre 2024.
Cette initiative est cruciale, soutient le conseil municipal, pour préserver la qualité de l’eau et l’habitat des espèces aquatiques menacées comme le chevalier cuivré.
Les activités humaines telles que l’épandage de pesticides et le rejet de contaminants dans les égouts pluviaux contribuent à la détérioration de la rivière Richelieu.
Les résultats de l’étude vont guider la Ville dans l’élaboration de stratégies pour réduire la contamination à la source et à soutenir le rétablissement des espèces aquatiques en péril.