Le Groupe témoigne ainsi de la ferme volonté du gouvernement de redresser la situation, à la suite notamment de récentes études de l’Office québécois de la langue française (OQLF).
Ces dernières faisaient l’état d’une baisse de l’utilisation du français dans différentes sphères de la société québécoise.
« Tous les indicateurs pointent vers un déclin de plus en plus prononcé du fait français au Québec, soutient monsieur Roberge. Ce plan, ce n’est pas une finalité, c’est la continuité d’une grande offensive du gouvernement du Québec pour assurer la vitalité du français au Québec. »
Ces investissements vont être répartis sur une période de cinq ans et vont permettre de mettre en œuvre les priorités et les mesures présentées dans ce Plan.
Celles-ci vont être déployées au cours des prochains mois par le gouvernement.
Elles vont être portées à la fois par les ministères et organismes, les partenaires publics et privés ainsi que les membres de la société civile.