Ce Défi reconnaît l’importance de ces créatures pour la biodiversité et l’agriculture.
La décision s’inscrit dans un effort global pour contrer le déclin alarmant des pollinisateurs, essentiels pour près de 35 % de la production agricole mondiale.
C’est suite à l’appréciation publique et l’engagement vers la conservation des habitats des pollinisateurs, notamment des monarques.
Le Défi est tenu en harmonie avec les objectifs du pacte de Kumming-Montréals sur la protection de la biodiversité et les 23 cibles à atteindre d’ici 2030.
Ainsi, la ville encourage les citoyens à laisser pousser pissenlits et trèfle en mai, malgré les règlementations sur la hauteur du gazon.
C’est essentiel pour soutenir les insectes pollinisateurs après l’hiver.
Cette mesure, bien qu’éphémère, vise à équilibrer la préservation écologique et les préoccupations de santé publique liées aux herbes hautes.