Plusieurs acériculteurs de la région ont en fait été pris de court par les premières coulées qui ont débuté il y a déjà trois semaines.
Cette situation a forcé certains producteurs à travailler plus fort afin de reprendre le sirop qu’ils n’ont pas pu récolter.
Les premières coulées sont normalement attendues vers la fin de mars.
Le directeur des communications des Producteurs et productrices acéricoles du Québec Joël Vaudeville affirme que toutes les gouttes de sirop d’érable sont importantes.
Elles le sont même dans une si petite fenêtre de production par année.