Cette qualité de vie est additionnée aux besoins essentiels de préserver les espaces naturels constamment détruits par les cervidés dans le parc.
M. Tabarah rappelle que «les citoyens de son secteur sont au premier plan pour constater les dommages causés par les cerfs, incluant la dégradation accélérée de leur parc».
Le conseiller ajoute qu’ils ont fait preuve d’une grande patience devant les délais judiciaires imposés par des recours d’organisations tierces hors du contrôle de la Ville.
Il lance aussi un appel à la collaboration de tous, résidents du quartier et utilisateurs du parc, pour soutenir l’opération à venir pour sauver, dit-il, cet écosystème fragile et en péril.
L’opération va se faire en respect avec la science, les avis d’experts et les autorités compétentes dans ce dossier.
Le politicien rappelle que l’agrile du frêne a ravagé plus de 10 000 arbres qui ont dû être abattus ces dernières années.
La surpopulation de cerfs empêche également toute opération de reboisement massif, conclut-il.