Cinq personnes ont posé des questions aux élus mardi lors du conseil municipal.
Ils ont ouvertement dénoncé la technique mise de l’avant pour réduire le cheptel, soit la chasse à l’arbalète.
Sophie Royer a rappelé que Longueuil a été une des premières villes québécoises à vouloir protéger les animaux.
C’était sous Caroline St-Hilaire avec la création de Service animalier Rive-Sud.
Mme Royer dénonce ce qu’elle appelle de la maltraitance.
Dominique Lévesque a souligné que les pro-cerfs et les élus sont fatigués de parler du dossier.
Elle considère que le déplacement des bêtes était la meilleure solution, mais elle a été écarté, le tout à grand frais.
Richard Blanchette a dit qu’il aurait été profitable pour toutes les parties de tenir une consultations publique sur le sujet.
Natalie Moseley a demandé si la mairesse Fournier prévoit être présente le jour de la chasse et si non, pourquoi.
Jean Lapierre a demandé pourquoi la Ville n’a pas accepté l’offre de Sauvetage Animal Rescue de d’administrer un vaccin contraceptif aux animaux.
Ça aurait permis de réduire, selon lui, le cheptel.
Le conseiller Jonathan Tabarah a rappelé, une fois encore que la décision prise est d’ordre scientifique.