C’est ce qu’a déclaré ce lundi le porte-parole de la Ville, Louis-Pascal Cyr, lors d’une entrevue pour LCN.
D’après lui, ces frais juridiques ont servi, notamment, à « faire valoir le droit de la Ville d’intervenir en contrôle de la faune dans un milieu urbain ».
Il poursuit en expliquant que Longueuil aurait préféré ne pas débourser de telles sommes aussi importantes.
Les cerfs de Virginie cohabitent actuellement en surnombre au parc Michel Chartrand à Longueuil.
Ils seront donc chassés à l’arbalète pour « rétablir l’équilibre écologique du parc ».
La Ville devrait divulguer prochainement l’échéancier de son Plan d’intervention d’abattage des cerfs.
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