Ce budget devrait contenir une augmentation prévisionnelle maximale de 4 % de la quote-part des municipalités.
Ce pourcentage serait destiné à respecter leur capacité financière en rapport avec la décision de Québec de mettre fin aux discussions sur le financement du transport collectif pour l’année 2024.
L’ARTM devra aussi évaluer les conséquences pour les citoyen·nes du Grand Montréal et indiquer l’impact éventuel des réductions budgétaires sur l’offre de services.
La CMM veut que l’organisme de transport transmette aux villes membres une quote-part détaillée des contributions par modes et soumette des projections budgétaires pour 2025 à 2028.
Ce doit être fait dès l’an prochain.
Le comité exécutif de la CMM doit entreprendre de son côté, avec les cinq secteurs, un chantier pour les améliorations à apporter au processus budgétaire et décisionnel du transport en commun métropolitain.
Les mairesses et maires de la CMM demandent aussi à la ministre Transports, Geneviève Guilbault, de déposer le plus rapidement possible les conclusions du Chantier sur le financement de la mobilité durable.