L’Association s’inquiète des impacts qui figureraient dans le plan québécois touchant les sociétés de transport collectif.
En effet, la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, a indiqué vouloir n’absorber que le cinquième du déficit des transporteur collectifs.
Ce déficit serait de 2,5 G$ en cinq ans, selon ce qu’on peut lire sur Ici Radio-Canada.
Une des façons que les transporteurs interurbains de la Rive-Sud pourraient employer pour réduire leur fardeau consisterait en cesser le service à 21 h, au lieu d’une heure du matin.
Ces coupures seraient néfastes pour bon nombre d’usagers, selon l’ATCRS.
Des clientèles vulnérables ou sans voiture, comme des étudiants et des travailleurs aux horaires atypiques, en feraient les frais, dit le co-porte-parole de l’organisme, Jean-Michel Laliberté.
L’Association invite les municipalités et le gouvernement du Québec à en arriver à une entente rapidement pour trouver des options pour financer le transport collectif.