Au total, ce sont au moins 1 500 hectares de milieux naturels qui vont être ajoutés aux 1 060 hectares déjà protégés.
Cet ambitieux projet intervient dans le cadre du tout nouveau Plan de protection et de conservation des milieux naturels de la Ville.
Ce plan va répondre à plusieurs grands axes, dont la « conservation », afin d’assurer la préservation des espaces pour les générations futures.
Pour sa part, « l’accessibilité » vise à ce que la population puisse profiter de ces milieux naturels.
La Ville veut aussi appliquer la notion de « protection et restauration », pour remettre à neuf l’habitat de certaines espèces, comme celui de la rainette faux-grillon.
Enfin, à noter que près de 500 hectares de ces milieux naturels appartiennent à des propriétés privées.
La Ville envisage donc d’entamer des phases de discussions prochainement avec chacun des promoteurs pour voir ce qui est possible de faire.
Aussi, la mairesse, Catherine Fournier, demande à Québec sa contribution dans ce projet.
Elle veut que le provincial modifie notamment sa loi sur l’expropriation dite « déguisée ».