Toutefois, c’est seulement s’il était soumis au processus d’évaluation environnemental prévu pour les projets industriels majeurs.
Si tel était le cas, la compagnie devrait réaliser une étude d’impact pour détailler la richesse de la biodiversité sur le site projeté à McMasterville et Saint-Basile-le Grand.
L’étude serait ainsi rendue publique et ferait alors l’objet d’une analyse d’experts gouvernementaux, nous rapporte Le Devoir.
Il pourrait y avoir par la suite un examen du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).
Le quotidien rapporte que Northvolt aurait fait un «inventaire complet» des espèces menacées et des milieux humides abritant des dizaines d’espèces fauniques qui se trouvent sur le site de la future usine.
L’inventaire aurait été réalisé entre juin et septembre par des biologistes spécialisés.
Il y aurait confirmation de la présence d’espèces fauniques en péril.
La compagnie a cependant a refusé de transmettre les rapports au Devoir.