C’est ce qu’a révélé la Presse ce lundi.
Le SCRS arrive à une conclusion similaire aux soupçons de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
C’est-à-dire, que l’organisme brossardois fait partie de « l’arsenal de l’ingérence » du Parti communiste chinois en sol canadien et à l’international.
Ce constat découlerait d’une « Alerte de sécurité » regroupant les rapports de plusieurs espions canadiens, datant de décembre 2022.
Rappelons que le Centre Sino-Québec de la Rive-Sud fait l’objet d’une enquête de la GRC depuis le mois de mars, tout comme six autres organismes à travers le pays.
Ses dirigeants, dont la conseillère municipale de Brossard, Xixi Li, nient toutes les allégations qui pèsent contre eux.
Les résultats de l’enquête de la GRC demeurent confidentiels pour l’instant.