Le projet est né d’un partenariat entre des scientifiques issus de diverses universités et de spécialités différentes.
Il y a 13 organisations partenaires au projet dont quatre villes, soit Montréal, Longueuil, Sainte-Julie et Saint-Bruno.
Il faut savoir que ce projet vise à mettre en œuvre et évaluer une stratégie d’intervention durable afin de protéger les écosystèmes des parcs-nature périurbains.
Le projet vise aussi à réduire les risques pour la santé humaine dus aux maladies transmises par les tiques, encore plus présents en raison des changements climatiques.
Il y a émergence de maladies transmises par les tiques.
Longueuil estime que le parc Michel-Chartrand illustre bien cette problématique avec une abondance de tiques et une surpopulation importante de cerfs de Virginie.
La mairesse, Catherine Fournier dit que chaque partenaire débourse le même montant pour le projet de recherche.
La professeure adjointe à la Faculté de médecine vétérinaire (FMV) de l’Université de Montréal, Cécile Aenishaenslin, va diriger le projet.
Le budget total du projet est de 2 084 910 $.