En effet, Catherine Fournier avait des réserves à la signer.
Puisqu’aucune donnée disponible ne met en avant le registre des loyers comme solution.
L’Association croit que le registre ne ferait que contrôler et gérer les actifs des petits propriétaires qui prennent soin de leurs immeubles.
Selon ses membres, la plateforme de « Vivre en ville » est déjà entièrement financée.
Elle soutient que cette plateforme ne semble offrir, pour le moment, aucune vérification des informations.
L’Association des Propriétaires du Québec est donc contre l’imposition d’un registre des loyers.
Selon l’Association, il faut déréglementer le marché locatif et un retour de l’offre et de la demande doit être préconisé.
En fait, 14 maires ont publié une lettre réclamant la mise en place d’un registre des baux universel et québécois.
L’APQ estime tout de même qu’il faut des solutions pour stopper l’inflation des loyers, pour rétablir l’équilibre et pour désamorcer la crise de l’habitation, mais elle contre l’imposition d’un registre des loyers.