Les réponses semblent se faire attendre de la part de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
Mme Assaad a rédigé une lettre et envoyée au ministre de la Sécurité publique du Canada, Marco Mendicino, le vendredi 9 mai dernier.
La réponse obtenue du cabinet du ministre indiquerait que la GRC ferait le suivi, mais la mairesse l’attend toujours.
Doreen Assad veut, dans les faits, savoir exactement quel rôle a joué la conseillère Li dans ce dossier concernant les les supposés postes de police.
La mairesse rappelle à Québecor Média qu’elle siège toujours à la table du conseil de ville et que cette situation crée des malaises.
Elle parle d’allégations graves et d’inconfort dans le monde municipal.
Les informations récentes stipulaient que la GRC avait tenu des «activités de perturbation» dans de présumés «postes de police» chinois dont Montréal et à Brossard (Centre Sino-Québec de la Rive-Sud).
Ce serait sur des techniques d’intimidation des membres de la diaspora chinoise pour le compte du Parti communiste chinois.
La GRC poursuivrait son enquête et demanderait d’autres témoignages de présumées victimes.