La qualité de l’air est très variable sur le territoire du Grand Montréal.
Il est de plus difficile de prédire pendant combien de temps cette situation va affecter la région montérégienne.
La Direction de santé publique invite la population à fermer les fenêtres et à limiter les apports d’air extérieur en éteignant son échangeur d’air s’il y a lieu.
Des citoyens plus fragiles devraient aussi limiter les activités extérieures.
C’est le cas surtout pour celles et ceux qui sont à risque comme les gens souffrant de maladies respiratoires et cardiaques, par exemple.
L’exposition à la fumée peut entraîner des picotements des yeux, des larmoiements, un écoulement nasal, une irritation des sinus, une toux légère ou un mal de gorge ou à la tête.