En effet, l’Office québécois de la langue française a confirmé que les 48 villes, municipalités ou arrondissements le demeuraient.
Elle avaient été avisés que leur statut pourrait être révoqué ont pris les mesures nécessaires pour demeurer bilingues.
C’est le cas pour Greenfield Park.
Ainsi, en vertu de la nouvelle loi linguistique du Québec, les municipalités dont moins de 50 % des citoyens ont l’anglais comme langue maternellev risquaient de perdre le droit de communiquer avec les résidents en anglais.
Cependant, le projet de loi 96 permettait aux villes bilingues d’éviter la révocation de leur statut.
Il leur suffisait d’adopter une résolution affirmant leur volonté de rester bilingues.
La résolution devait être faite dans les 120 jours suivant la réception de l’avis de la province.
Le FM 103,3 est en attente d’une réaction du président de l’arrondissement, Sylvain Joly sur cette décision de l’Office et du gouvernement.