Sa direction veut ainsi « rectifier » les affirmations faites la semaine dernière par le ministre fédéral de la Sécurité publique, Marco Mendicino, à un comité des Communes.
Il avait alors déclaré que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) avait fermé tous les prétendus « postes de police secrets » au pays.
Toutefois, le Centre Sino-Québec de la Rive-Sud, soutient que la GRC ne l’a pas invité à fermer ses portes.
La direction assure aussi avoir collaboré à l’enquête, mais qu’elle n’est plus en communication avec la police fédérale.
Ses membres déclarent enfin que leurs activités se déroulent normalement.
Cependant « la réduction des subventions » à la suite de la publication des allégations limiteraient leur impact.
Rappelons que les présumés « postes de police chinois » seraient des avant-postes à l’étranger qui harcèlent des citoyens au nom du Parti communiste chinois.
À noter également que Pékin nie en bloc ces allégations.