Il déclare en fait aux citoyens qu’il est maintenant plus facile d’exercer ce droit dans un bon nombre de villes.
Rappelons que le droit de préemption est le droit « d’acquérir en priorité, sur tout autre acheteur, certains immeubles ou terrains afin d’y réaliser des projets au bénéfice de la communauté »
Initialement, son processus n’accordait que 60 jours aux administrations municipales pour verser les sommes à une personne dans ce contexte.
Cela constituait un véritable obstacle (et donc un « iceberg ») à un certain nombre de villes de la région.
Aujourd’hui, M. Damphousse félicite les élus au conseil d’administration de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) et les fonctionnaires municipaux.
Ces derniers ont réussi à contourner ces difficultés, en étroite collaboration avec le gouvernement du Québec.
Ils ont réussi à raccourcir les délais administratifs pour obtenir plus rapidement l’approbation du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation du Québec.
Varennes devrait donc s’inspirer de cette stratégie pour mener, à bien, son droit de préemption.