Il a souligné sur nos ondes, jeudi dernier, qu’environ 11% des agriculteurs montérégiens considèrent leur santé financière comme mauvaise, ou très mauvaise.
De plus, 7 % des producteurs du « garde-manger du Québec » envisagent de fermer leur entreprise, si leurs obligations financières ne s’allègent pas.
M. Letellier ajoute que les difficultés dues au contexte économique affectent non seulement le portefeuille des fermiers, mais aussi leur santé mentale.
Par conséquent, la Fédération de l’UPA demande à Québec d’adapter ses programmes déjà existants, pour qu’ils répondent à la réalité actuelle des agriculteurs.
Jérémie Letellier insiste sur l’urgence d’agir, car les prochains mois s’annoncent difficiles à cause de la hausse des taux d’intérêts.