Il lui demande pourquoi le Québec ne ferait pas comme la Colombie Britannique et stériliser les cerfs et situation particulière comme c’est le cas dans le Parc.
Ce serait selon lui la meilleur solution, mieux que l’abattage avec arbalète, comme semble le privilégier la Ville de Longueuil, ajoute-t-il.
La chasse au cerf sauvage serait réservée aux territoires sauvages.
M. Grignon rappelle au premier ministre le triste épisode du cerfs blessé abattu par 13 coups de feu par un policier.
Selon lui, le ministère des Forêts de la Faune et des Parcs devrait collaborer davantage avec les groupes de citoyens qui oeuvrent au bien-être animal en milieu urbain.
De plus, le groupe de citoyens qui nourrit les cerfs du parc a rédigé une lettre envoyée au même ministère et à certains maires et mairesses.
La mairesse de Longueuil et les maires de Saint-Bruno et de Boucherville étaient en copie conforme.
Les auteurs de la lettre défendent leur point de vue sur le nourrissage des bêtes afin de les garder à l’intérieur du parc.
Ils soutiennent que Longueuil devrait assumer la responsabilité de le faire au besoin jusqu’à un dénouement à la suite des audiences en justice.
Ils affirment que Longueuil les a nourri durant 20 ans et que c’est elle qui a créé cette situation précaire.