Selon lui, c’est troublant qu’une conseillère d’une ville puisse diriger le Service à la Famille Chinoise du Grand Montréal et le Centre Sino-Québec de la Rive-Sud, à Brossard.
Surtout, ajoute-t-il, que ces organisations sont sous enquête de la GRC.
Elles seraient possiblement des « postes de police » chinois et auraient pu intervenir pour favoriser l’élection de madame Li, avance M. Duhaime.
Il s’inquiète du fait qu’elle ait accès à beaucoup d’information.
Selon lui, la Commission municipale du Québec doit s’assurer des bonnes pratiques en matière déontologique.
La Commission doit donc se prononcer pour indiquer si elle doit se retirer du conseil, le temps que la lumière soit totalement faite sur cette affaire.
Son parti a aussi demandé au Directeur général des élections du Québec d’enquêter sur la contribution potentiellement illégale de Sino-Québec à l’élection de madame Li.
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